La psychologie positive


La genèse

La psychologie positive est née en 1998 avec la nomination de Martin Seligman à la Présidence de l'American Psychology Association (APA pour les intimes).

Ce mouvement n'est pas nouveau en Soi, il fait appel à d'autres mouvements qui l'ont précédé comme le mouvement humaniste ou le mouvement transpersonnel, à travers des psychologues de renoms comme Milton Erikson, Carl Rogers, Abraham Maslow ou le très contemporain Mihaly Csikszentmihalyi. Ce qui est nouveau, c'est la volonté d'un Président d'en faire un cheval de bataille sous son mandat et de créer un cadre fédérateur absent des querelles de clocher des différentes disciplines de la psychologie. Est-ce que Daniel Lagache aurait adopté le cadre de la psychologie positive ?

 

Couverture Livre

Martin-Krumm, C., & Tarquinio, C. (2011). Traité de psychologie positive. Bruxelles: DeBoeck Université.

Cet ouvrage est subdivisé en 4 parties. La première partie présente en 3 chapitres ce qu'est la psychologie positive. La seconde partie présente en 15 chapitres les fondements théoriques de la discipline, et la troisième partie donne 12 implications pratiques (une par chapitre). La dernière partie est une conclusion.

Plusieurs chapitres écrits par les grands noms de la psychologie positive (dont ceux-précités dans la genèse), cette ouvrage de référence vous ouvrira de nombreuses portes.

Lecomte, J. (2009). Introduction à la psychologie positive. Paris: Dunod.

Un des premiers ouvrages sur le sujet, bien utile, qui vous présentera de nombreux travaux scientifiques sur le sujet. Sous la direction de Jacques Lecomte, enseignant à Paris X et l'UCP, plusieurs spécialistes dans le domaine de la psychologie, de la pédiatrie, de la psychiatrie, se sont unis pour nous parler de la psychologie positive.

Mehran, F. (2010). Psychologie positive et personnalité: Activation des ressources. Paris: Masson.